29.1.04

Savoir et pouvoir« Je ne crois pas à la formule : le savoir c’est le pouvoir. Je connais des gens qui savent et qui ne peuvent pas; et en contrepartie, je connais aussi des gens qui peuvent mais qui hélas! ne savent pas. »
Savoir et pouvoir« Je ne crois pas à la formule : le savoir c’est le pouvoir. Je connais des gens qui savent et qui ne peuvent pas; et en contrepartie, je connais aussi des gens qui peuvent mais qui hélas! ne savent pas. »
Mode juste-à-temps Il faudra aussi apprendre à fonctionner en mode juste-à-temps quand il s’agit d’information. L’enjeu n’est plus de rendre toute l’information accessible — chaque année, on produit assez de nouvelles connaissances dans le monde pour remplir 500 millions de bibliothèques de la taille de la Library of Congress —, mais bien d’assurer que le bon renseignement soit disponible au bon moment.
Organisation apprenante Vous ne pourrez pas transformer votre organisation en organisation apprenante sans aligner vos pratiques avec votre discours. Par exemple, il ne vous servira à rien de créer une communauté de pratique (CdP) si vos employés ne sont pas récompensés pour y participer ou, pire, si leur participation les pénalise.
Connaissances Gérer les connaissances n’est pas en premier lieu une affaire de technologie. En effet, comme la plupart des connaissances scientifiques, techniques, de gestion ou autres résident dans le cerveau des travailleurs — « seule une faible partie s’en échappe pour se retrouver dans des documents écrits ou des bases de données » —, il faut d’abord et avant tout se préoccuper du facteur humain.