23.2.07

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX!

LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX!: "La façon la plus synthétique de concevoir la structure du cerveau en relation avec son histoire nous vient de Paul MacLean et de son fameux « cerveau triunique ». Pour MacLean, trois cerveaux distincts apparus successivement au cours de l’évolution cohabitent en nous :

un cerveau « reptilien », le plus ancien, qui assure les fonctions vitales de l’organisme en contrôlant, la fréquence cardiaque, la respiration, la température corporelle, l’équilibre, etc. Il comprend le tronc cérébral et le cervelet, essentiellement ce qui forme le cerveau d’un reptile. Il est fiable mais a tendance à être plutôt rigide et compulsif…

un cerveau « limbique », apparu avec les premiers mammifères, capable de mémoriser les comportements agréables ou désagréables, et par conséquent responsable chez l’humain de ce que nous appelons les émotions. Il comprend principalement l’hippocampe, l’amygdale et l’hypothalamus. C’est le siège de nos jugements de valeur, souvent inconscients, qui exercent une grande influence sur notre comportement.

un « néo-cortex », qui prend de l’importance chez les primates et culmine chez l’humain avec nos deux gros hémisphères cérébraux qui prennent une importance démesurée. C’est grâce à eux que se développera le langage, la pensée abstraite, l’imagination, la conscience. Le néocortex est souple et a des capacités d’apprentissage quasi infinies. C’est aussi grâce au néo- cortex que peut se constituer la culture."
Tout sujet, tout système autonome disposent d'un ensemble de conduites constitutionnelles ou apprises.
Lors de la rencontre avec une situation quelconque, une conduite semble après analyse, la plus appropriée et elle est immédiatement mise en jeu. Si le sujet, le système constatent un échec partiel ou sévère dans la rencontre avec la situation rencontrée, des modifications sont introduites dans les conduites essayées. Les résultats obtenus par ces conduites enrichissent l'évaluation de la situation, même en cas d'échecs et permettent de parvenir finalement à un succès adaptatif, éventuellement après plusieurs modifications successives de conduite.
Très habituellement, le sujet, le système déduisent une connaissance complémentaire généralisable à
partir de la réaction circulaire. Cette connaissance pérennisée constitue le point de départ d'une plus grande efficacité comportementale et le processus de progrès peut se poursuivre indéfiniment.
http://cerveau.pensee.free.fr/these/Tabary-these.pdf
Le milieu social, voire le milieu biologique, peuvent néanmoins conserver les connaissances ou les informations nées de confrontations antérieures entre un sujet et son environnement. Ces connaissances peuvent être pérennisées et incluses dans la constitution biologique ou la culture. Dans ce dernier cas, elles peuvent être ensuite directement assimilées par un sujet.
http://cerveau.pensee.free.fr/these/Tabary-these.pdf
Le milieu social, voire le milieu biologique, peuvent néanmoins conserver les connaissances ou les informations nées de confrontations antérieures entre un sujet et son environnement. Ces connaissances peuvent être pérennisées et incluses dans la constitution biologique ou la culture. Dans ce dernier cas, elles peuvent être ensuite directement assimilées par un sujet.
http://cerveau.pensee.free.fr/these/Tabary-these.pdf