Kelly ne nie pas le consumérisme qui est parfois à l’oeuvre dans la création de nouveaux outils, et une possible addiction à l’innovation. Mais, reprend-il, quand nous créons une nouvelle technologie, il y a accroissement des choix, des possibilités et des différences. Et c’est bon. Parce le génie a besoin d’outils propres pour s’exprimer. Mozart avait besoin des technologies du piano et du clavecin pour découvrir et développer son génie musical. Imaginez si Mozart était né 2 000 ans avant l’invention du piano et de la symphonie. Et Kelly de répéter le même raisonnement avec Van Gogh et Georges Lucas.
[...] Ce dont il s’agit, ce n’est pas simplement l’invention de la nouveauté. Quand nous créons des technologies, nous participons en fait à quelque chose qui nous dépasse. Nous déployons les mêmes forces que celles qui font la vie, nous accélérons l’évolution vers l’avenir et nous augmentons les possibilités pour nous, nos enfants, et le monde en général. C’est “ce que veut la technologie”.
http://www.internetactu.net/2011/03/07/lequilibre-positif-de-la-technologie/