3.11.06

Sexualités vécues. France 1920-1970: "Les lois de 1920 interdisant la vente et la publicité des moyens de contraception et la provocation à l’avortement, puis celle de 1923 correctionnalisant l’avortement, symbolisent le contrôle de l’État sur le corps des femmes. Ces lois délimitent une sexualité normative hétérosexuelle, perçue comme l’acte nécessaire à la procréation. En 1967, la loi Neuwirth (appliquée en 1972) autorise la contraception pour les femmes majeures, autorisation étendue aux mineures en 1974, un an avant que la loi Veil ne libéralise l’interruption volontaire de grossesse. L’État laisse donc les femmes libres de choisir ou non la maternité : la sexualité n’est plus uniquement envisagée sous l’angle de la reproduction, mais une place est faite au plaisir. Entre temps, quelles sont les tensions qui naissent de la confrontation de différentes représentations des sexualités : la sexualité normative d’une part, imposée par l’État, liée à la reproduction et considérée comme la « vraie sexualité », et des sexualités nouvelles d’autre part, dans lesquelles le plaisir est mis en avant ? "
Sexualités vécues. France 1920-1970: "De 1920 à la première moitié des années 1970, la contraception et l'avortement sont interdits en France. L'État impose une sexualité normative, liée à la reproduction et considérée comme la vraie sexualité. Cependant des sexualités nouvelles apparaissent dans lesquelles la question du plaisir est mise en avant. Comment les individus « ordinaires » contournent la loi pour se procurer des moyens de contraception et pratiquer des avortements ? Comment vivent-ils leur sexualité dans un tel contexte ? Quelles sont les tensions qui naissent de la confrontation de ces différentes représentations des sexualités ? "

2.11.06

InternetActu.net » Un manifeste des “Villes 2.0″: "Il y a encore quelques années, la plupart de nos liens avec la ville convergeaient vers une adresse (ou au plus deux : personnelle et professionnelle), postale et physique. Nous vivons aujourd’hui avec plusieurs dizaines d’adresses : adresses IP, courriel, messagerie instantanée, web, GPS, cartes à puce et identifiants divers dans plusieurs bases de données, plus une ou plusieurs adresses mobiles qui nous accompagnent où que nous allions. "
[Alternatives] : La guerre sans fin ?: "Entre-temps, de puissants groupes transnationaux interviennent dans l’espace mondial et contribuent à les structurer. Le degré de leur ingérence à l’échelle planétaire sous forme d’aiguillon des conflits armés dépend de leurs liens plus ou moins directs - dans cette catégorie, on doit au moins inclure les groupes du pétrole et des ressources naturelles, de l’énergie, de l’armement - avec le pouvoir militaire de leur pays d’origine."

1.11.06

Empreinte écologique : l’humanité n’y va pas de main morte - notre-planete.info: "Le premier est l’Indice Planète Vivante (Living Planet Index). Il suit l’évolution de l'état de la biodiversité en examinant plus de 3600 populations d’espèces de vertébrés. Au total, 695 espèces terrestres, 344 espèces dulcicoles et 274 espèces marines ont été analysées. Le premier groupe a décliné de 31%, le deuxième de 28% et le dernier de 27% sur une période de 33 ans.

Le deuxième indicateur est l’empreinte écologique. Elle mesure la consommation annuelle des ressources naturelles (en hectares) d’une population donnée. Cette empreinte a plus que triplé entre 1961 et 2003. L’étude montre qu'en 2003 l’impact de l’humanité dépassait de 25% les capacités de régénération de la planète. Dans le précédent rapport, basé sur les données de 2001, ce taux s’élevait à 21%. Le CO2 émanant de la consommation de carburants fossiles, est la composante qui a cru le plus rapidement au sein de notre empreinte globale. Elle a été multipliée par 9 entre 1961 et 2003.
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