28.10.10

“Auparavant, les gens collaboraient dans leurs villages. Aujourd’hui, le village, c’est la planète. Ca a débuté avec le développement de logiciels libres et open source, mais c’était une pure coïncidence : les développeurs de logiciels ont été les premiers êtres humains à véritablement embrasser l’internet.

N’importe quel autre groupe peut aujourd’hui connaître de tels bouleversements : on commence à le voir avec des journalistes, chercheurs, hommes politiques, professionnels de la santé, et aujourd’hui avec des fabriquants de voiture…”

La Terre en tant que planète peut certes survivre à bien des
cataclysmes, mais, pour les civilisations, la partie n’a jamais été
jouée à l’avance ni surtout à terme gagnée. Paul Valéry pensait
que les civilisations sont mortelles par l’épuisement de leurs ressorts.
Les signaux qui nous viennent de l’espace et de notre environnement
engagent à penser que ce serait plutôt par la
surabondance de leurs produits : effet de serre et altération du
climat, épuisement des ressources fossiles, réduction de la biodiversité,
accroissement de la consommation d’énergie et pression
démographique, cette conjonction-coalition ne peut conduire
qu’à des scénarios de rupture dont nous n’avons pas l’idée, mais
dont nous refusons de tirer séance tenante les conséquences