30.3.07

Demos | Projects | Atlas of Ideas | Overview

Demos Projects Atlas of Ideas Overview: "We used to know where new scientific ideas would come from: the top universities and research laboratories of large companies based in Europe and the US. While production was dispersed among global networks of suppliers, it was assumed that more knowledge-intensive tasks would stay at home.

All that is changing fast. As globalisation moves up a gear, ideas are emerging in unexpected places and flowing around the world as easily as money and commodities, carried by mobile diasporas of knowledge workers.

This shift is most visible in countries such as China, India and South Korea, which are fast becoming world-class centres for research, particularly in emerging fields such as stem cell biology and nanotechnology.

Since 1999, China’s spending on R&D has increased by more than 20 per cent each year. India now produces 260,000 engineers a year and its number of engineering colleges is due to double to 1,000 by 2010. According to Thomson ISI, Asia's share of the world’s scientific papers rose from 16 per cent in 1990 to 25 per cent in 2004. At the same time, there is a growing flow of multinational R&D to the new knowledge centres of Shanghai, Beijing, Hyderabad and Bangalore."

Futuribles

Futuribles: "Comment, dès lors, nous doter d’une représentation un peu robuste et fidèle du contexte géopolitique actuel, des facteurs de cohésion et de conflits à venir ? Certainement pas à l’aune éminemment réductrice des thèses de S. Huntington ou de tout autre auteur qui prétendrait camoufler, sous un voile culturel ou purement idéologique, des conflits d’intérêts tels que, par exemple, ceux afférents au contrôle des ressources naturelles. Certainement pas non plus en ignorant la dimension culturelle, la nécessité évidente des peuples de se réunir autour de valeurs partagées, l’heureuse diversité desdites valeurs, le lancinant problème de leur enrichissement mutuel ou de leur affrontement."

Futuribles

Futuribles: "D’abord, à la fin de la « belle époque » de la guerre froide opposant de manière frontale, et suivant des règles du jeu communes, deux blocs prétendant incarner des idéologies clairement distinctes sous le leadership d’États phares, l’URSS et les États-Unis. Ce monde-là, hérité du traité de Westphalie (3) et des accords de Yalta instituant des États souverains sur des territoires limités, est mort.
Le deuxième élément tient assurément à la mondialisation qui, bien qu’ancienne, a revêtu depuis la Seconde Guerre mondiale des formes radicalement nouvelles : y compris avec la prise de conscience que nous ne formions qu’« une seule Terre » et étions solidairement dépendants d’un même écosystème ; y compris en raison de la montée sans précédent des interdépendances (aux plans économique, financier, culturel, politique…) au niveau planétaire sans qu’il y ait eu un progrès symétrique des instances et des procédures de régulation, sinon de gouvernance, globale ; y compris en raison de l’essor d’une économie obéissant à une logique de réseau à l’échelle mondiale de plus en plus déconnectée de la logique territoriale sur laquelle étaient assises la souveraineté des États et la légitimité des institutions internationales ; y compris, enfin, en raison de l’émergence d’acteurs globaux (Microsoft, Al-Qaida…) échappant au contrôle des institutions publiques."

29.3.07

Foresight 2100 Prospective

Foresight 2100 Prospective: "Un site libre pour travailler à l'avenir planétaire"

L'Encyclopédie de L'Agora

L'Encyclopédie de L'Agora: "Terme qui désigne l'acte de s'excuser d'avoir cru en une doctrine dont on a honte un jour après y avoir adhéré sans réserve. Cet acte est l'un des traits caractéristiques de la vie intellectuelle en Occident au XXe siècle, en Europe surtout, où les adhésions aux idéologies (marxisme, nazisme, mai 68) et les défections ont été nombreuses... et retentissantes.

«La plupart de ces mea culpa furent signés, en effet, par ceux qui incarnaient – et incarnent toujours – le meilleur de l’intelligence occidentale. Grands historiens, philosophes, sociologues, prélats, politiciens, journalistes, universitaires de premier plan ou maîtres à penser : bien rares sont en Europe les intellectuels de plus de cinquante ans qui n’aient pas à confesser tel aveuglement ou telle compromission intellectuelle passés."