14.4.06

National Geographic Channel - Le projet Genographic: Le généticien des populations Spencer Wells a décodé l'histoire de l'homme à partir de nos gènes. Son travail a prouvé que chacun d'entre nous dans le monde est un descendant de l'homme qui vivait il y a 60 000 ans.
[@RT Flash] Lettre 380 du14 au 20 avril 2006 - @ Tr�gou�t: Le génome humain est un livre d’histoire. Lancé par la National Geographic Society, IBM et la Waitt Family Foundation, le projet Genographic veut donner aux scientifiques les moyens de lire le détail des grandes migrations d’Homo sapiens depuis sa sortie d’Afrique, voilà environ 60 000 ans. Le principe est de récolter dans les communautés indigènes, partout sur la planète, une grande quantité d’échantillons d’ADN, pour affiner les corrélations entre origines géographiques, migrations et variations du génome.
[@RT Flash] Lettre 380 du14 au 20 avril 2006 - @ Tr�gou�t:Pour la première fois, des scientifiques ont pu reconstruire un organe humain complexe, la vessie, chez sept jeunes patients, en utilisant du tissu vivant cultivé en laboratoire ensuite greffé sur les malades. Une avancée porteuse d’espoirs pour la réparation à terme du coeur ou d’autres organes. Jusque-là, seuls de simples tissus (la peau, les os ou le cartilage), avaient pu être produits en laboratoire. C’est la première fois qu’un organe plus complexe a pu être remplacé par du tissu cultivé en laboratoire à partir des propres cellules du patient.
[@RT Flash] Lettre 380 du14 au 20 avril 2006 - @ Tr�gou�t: Des scientifiques américains pensent avoir résolu le mystère entourant la formation des planètes à la suite de l’explosion violente d’une supernova. Ils annoncent dans "Nature" avoir décelé pour la première fois un anneau de débris dans lequel des planètes peuvent se former. La découverte surprend puisque l’anneau de poussière tourbillonnant autour du pulsar -une étoile morte- ressemble au nuage de gaz dans lequel se serait formé la Terre. Les scientifiques estiment que leur découverte permettra de mieux comprendre la formation des systèmes planétaires.
[@RT Flash] Lettre 380 du14 au 20 avril 2006 - @ Tr�gou�t: "Nous avons découvert que la complexité moléculaire évolue par transformation, par le biais d’un processus d’exploitation moléculaire, permettant à de vieux gènes, forcés par la sélection à des fonctions entièrement différentes, d’être recyclés pour de nouvelles fonctions"

13.4.06

Robotique, vie artificielle, r�alit� virtuelle : revue mensuelle. Le posthumanisme par Jean-Paul Baquiast: Nous parlons évidemment des hommes immergés dans le mouvement des sciences et des technologies, pas de ceux qui seraient éventuellement laissés de côté, sur lesquels nous reviendrons. Ces changements seront physiques : le corps humain sera complété d'"augmentations" diverses et son génome lui-même sera modifié. Mais ils seront aussi et surtout intellectuels. Les contenus de connaissance accessibles aux individus ordinaires seront considérablement augmentés et en voie de complexification continue. De plus, et c'est essentiel, ces mêmes individus auront la possibilité de participer personnellement, par l'invention et l'expérimentation, au développement des contenus et des outils de connaissance.
Robotique, vie artificielle, r�alit� virtuelle : revue mensuelle. Le posthumanisme par Jean-Paul Baquiast:Ce développement est un produit de l'évolution biologique darwinienne, qui n'est pas davantage finalisé ni contrôlé que les autres phénomènes évolutifs. Il crée l'effet de niche permettant à de nouveaux types d'organismes et d'organisations de se développer aux dépends des précédents. Ceci est aujourd'hui visible dans le monde animal. Ce l'est moins en ce qui concerne l'humanité. Mais de plus en plus, l'idée se fait jour que les hommes, non seulement ont déjà beaucoup changé, mais qu'ils devront encore plus changer dans l'avenir.
Robotique, vie artificielle, r�alit� virtuelle : revue mensuelle. Le posthumanisme par Jean-Paul Baquiast: Elle traduit une lame de fond, celle que nous avons essayée de mettre en évidence dans ce livre. Cette lame de fond, c'est le changement, inévitable sauf catastrophe majeure, qu'impose aux sociétés traditionnelles le développement explosif et multiforme des sciences et des techniques, notamment dans le domaine du computationnel et de l'artificiel.